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Tango
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La danse sociale est un milieu très peu connu. La conséquence la plus visible est une accumulation de croyances qui s'avèrent très souvent injustifiées. Passage en revue de quelques fausses idées qui entretiennent la peur d'aller de l'avant.

« Il faut être souple »

La souplesse en danse n'est réellement travaillée que dans un but esthétique, pour des spectacles. Faire un grand écart, ça impressionne, c'est beau, mais cela n'a jamais fait un bon danseur ou une bonne danseuse. Ceci vaut aussi bien dans les danses solo que dans les danses de couple. D'ailleurs, la plupart des danses de couple se font en social, et le but d'une danse sociale est de faire en sorte que les partenaires passent les trois minutes d'une danse en prenant un maximum de plaisir, pas en faisant des pirouettes alambiquées.

« Je n'ai plus l'âge »

C'est probablement ce que l'on entend de plus ridicule, surtout que certains le disent dès 30 ans. Comme la marche, la danse est une activité que l'on peut pratiquer à tout âge. Sans faire les prouesses de cette grand-mère de 80 ans dansant la salsa dans cette vidéo, vous pouvez trouver le genre qui vous convient. Du tango au rock acrobatique en passant par la kizomba, vous avez forcément la condition physique nécessaire pour l'une des danses. Ne jamais avoir pratiqué aucune danse auparavant n'est pas un handicap : c'est tout simplement le cas de la plupart des élèves des cours débutants de danse à deux !

« En tant qu'homme, la danse n'est pas une activité virile »

Pourtant, dans les danses à deux, le cavalier doit sécuriser sa partenaire, avoir le guidage léger mais précis. Il doit d'ailleurs assurer le rythme, le guidage des variations et être à l'écoute de sa partenaire. De plus, la danse lui permet de travailler sa posture, d'être plus redressé et plus affirmé dans sa démarche. Bref, il est plus rassurant et cela se retrouve sur le plan personnel et professionnel. Enfin, en travaillant la posture, l'homme travaille son gainage, ce qui a tendance à développer sa masse musculaire et gainer son ventre. Alors, c'est tout le contraire, la danse est une activité virile. D'autant plus la danse sociale où le rôle des hommes et de diriger les femmes. Ne serait-ce pas d'ailleurs une activité macho ? :)

« Je ne connais pas beaucoup de figures »

Là on va être court et direct : les filles n'aiment pas les enchaînements de variations alambiquées. Même les meilleurs se limitent à trois ou quatre figures complexes par danse. Les filles préféreront toujours le guidage précis et léger d'une variation simple à une variation complexe trop souvent forcée !

« Jamais je n'arriverai à ce niveau »

Si vous considérez les champions du monde, sans doute ! Sinon, sachez que dès quelques semaines de pratique, vous pouvez sortir dans des soirées dansantes. C'est un excellent moyen de progresser. Si les débuts peuvent être difficiles, il ne faut pas se décourager car la satisfaction plus tard est d'autant plus grande. Vous verrez alors qu'en deux ou trois ans vous atteindrez un niveau que vous n'imaginiez pas possible. Comme pour beaucoup de choses, l'important n'est pas d'où on part mais la régularité de la pratique.

« Je suis trop gros »

En danse, être gros n'est jamais un problème. Les personnes en surpoids ont par ailleurs une présence accrue qui, avec un peu de technique, peut devenir très agréable. Un des exemples les plus frappant est John Lindo, qui doit dépasser le poids de ses partenaires de près de 100 kilos. Il fait pourtant partie des meilleurs danseurs de west coast swing au monde ! On peut aussi citer le professeur de salsa Super Mario. À moins de vouloir participer à Danse avec les stars, vous ne devriez pas vous préoccuper de votre poids, pas plus que de votre âge ou de votre taille.

« Je ne suis pas à l'aise avec mes pieds »

En danse de société, il n'y a que deux pas à savoir faire : le « marche-marche » et le « triple pas ». Ce n'est pas très sorcier et c'est à la portée de tout le monde ! Si vous savez marcher, vous pouvez apprendre à danser.

« Je ne suis pas à l'aise avec mes mains »

Les bras et les mains interviennent bien moins qu'on ne le croit pour le guidage.

« Je ne vais pas inviter les bons danseurs »

Il y a des danses, effectivement, où peut exister une certaine étiquette. Mais dans les danses latino (salsa, bachata...) ou swing et apparentées (rock, west coast, lindy hop...), la règle veut que tout le monde invite tout le monde (et vice versa !).

« Je n'ai pas envie d'être raide quand je danse »

La posture du danseur varie énormément entre penché en avant (boogie, lindy), droit (salsa portoricaine, west coast swing) et cambré (danses standard). Il existe donc forcément une danse dont la posture vous plaira !

« Les soirées dansantes, il n'y a rien de mieux pour casser son couple »

Non, en danse, le but premier est de partager une danse. Rien de plus, sinon, il existe des sites de rencontre ! C'est sûr que si vous êtes célibataire, que vous dansez avec 200 célibataires, il y a des chances pour que des relations se créent... Mais le plaisir de danser avec une fille sera toujours supérieur à la frustration de se griller en la draguant. Car il ne faut pas ignorer que les garçons qui dansent pour la drague uniquement, ça se voit, et ça ne donne pas envie de danser avec ! (et souvent ils dansent très mal !)

Si jamais un couple doit être brisé par une rencontre faite à la danse, le problème vient en général plus du couple, et la danse n'en est que le révélateur, l'accélérateur. Nul doute que sans la danse, un collègue de boulot ou l'ami d'un ami aurait les mêmes résultats.

Ce que j'aurais fait différemment, si j'avais su ?

1.Sortir bien plus tôt en soirée. Car après six mois, ce que l'on apprend une nouvelle semaine vient effacer ce que l'on a vu la semaine précédente.

2.Faire des stages ou festivals. Ce sont des week-ends qui vous en mettent plein la vue ! Surtout les premières fois !

3.Faire de la compétition. La compétition m'a appris une chose : la technique est très importante, mais elle ne doit servir qu'à s'amuser davantage. La compétition m'a aussi forcé à prendre du recul sur ma danse, à gagner en humilité, et à progresser plus rapidement. La compétition se fait uniquement contre soi.

4.Changer d'école/asso de danse. En deux ans, un professeur a eu le temps de vous enseigner la majeure partie de son savoir. Changer ne veut pas dire renier, c'est chercher un enseignement complémentaire. Attention, il faut profiter du cours d'essai en début d'année pour s'assurer que sa future école/asso présente vraiment un intérêt !

5.Apprendre des danses plus techniques. En France, la plupart des danseurs débutent avec le rock ou la salsa cubaine. Ces danses sont très accessibles, mais leur public fait que les professeurs sont un peu bridés dans l'enseignement technique. Faire une danse qui peut sembler plus complexe est très enrichissant. Le lindy hop ou le west coast swing pourraient convenir par exemple à ceux qui ont fait deux ans de rock. Ou alors la salsa portoricaine ou le lambazouk pour les danseurs latino, voire le tango argentin ou les danses sportives. Vous acquerrez alors une technique complémentaire qui vous apportera un gros plus même dans votre danse de départ.

6.Ne pas avoir peur des danses « compliquées ». Il faut savoir que si les gens dansent des danses compliquées, ce n'est pas par masochisme. C'est au contraire parce qu'elles leur apportent beaucoup plus de plaisir.

7.Commencer la danse plus tôt : car je suis un grand timide et cela m'a beaucoup aidé ! C'est un bon remède pour vaincre sa timidité.

8.Comprendre la musique. La musique est organisée comme une poésie. Les cours d'écoute musicale m'ont vraiment apporté un plus dans ma danse.

9.Travailler la posture. La posture est une chose essentielle qui n'est vue que trop rarement et souvent trop sommairement durant les cours de danse (sauf en danse sportive et tango). Une bonne tenue permet d'alléger son guidage, de moins penser à ses pieds et d'être plus précis dans ses déplacements.

10.Marcher ou danser : ce qui fait la différence entre marcher en rythme et danser tient notamment à la maîtrise du poids de son corps et au déroulé du pied. Si j'avais eu conscience de cela plus tôt, j'aurais progressé plus rapidement !

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Quelque chose à en dire ? Postez-le en commentaire ;)
Photo de F

2/10
Je suis particulièrement d'accord sur 1 point, danser ce n'est pas enchaîner les passes...je ne comprends pas pourquoi tout les monde se focalise sur ça!!

Je suis débutante en salsa (4 ou 5 cours) et lors de la dérnière soirée j'ai invité plusieurs danseurs qui m'ont dit "ah non je ne sais pas encore danser je ne connais que 2 ou 3 passes" comme si cela était le plus important....puis j'ai danser avec un danseur intérmédiaire qui savait que j'étais débutante et qui à passé tout son temps à faire des passes compliquées alors que je m'étais perdu dans mes pas, très désagréable vraiment...il m'a dit qu'il ne savait pas danser juste avec les pas de bases et quelques tours (comment c'est possible??)

Je constate aussi le stress des danseurs qui ont peur que leur cavalière s'ennuie s'ils ne font pas de figures compliquées au lieu de juste suivre la musique et danser tout simplement!
J'ai danser toute mon adolescence dans mon pays en ne faisant que des pas de base et pourtant je ne me souviens pas m'être ennuyée (sauf quand le danseur avait un sérieux problème de rythme). Pareil pour la bachata j'ai énormémént danser en République Dominicaine où les gens ne font pas de figures ni passes compliquées et je ne me suis jamais ennuyée, au contraire!!

Bref, je crois qu'il y a un sérieux travail à faire la dessus...
Photo de M

3/10
Bien d'accord mais allez changer les mentalités guidées par les tendances...
Photo de F

4/10
Je suis dans une école de danse depuis 10 ans. Notre prof ne cesse de répéter aux élèves qu'elle préfère leurs apprendre peu de figures qu'ils maîtrisent parfaitement (et surtout qu'ils peuvent guider en dansant avec n'importe quelle cavalière) plutôt qu'une multitude de passes qu'ils feront de façon approximative.

Malgré cela les élèves sont toujours en train de se plaindre lorsqu'on reste 3 semaines sur la même figure. Ils sont persuadés de la maîtriser car ils arrivent à la faire en cours. En fait ils y arrivent car les filles anticipent mais au niveau du guidage cela ne va pas . S'ils essaient de faire cette figure avec une fille qui ne connaît pas la passe cela ne fonctionnera pas.

La prof est désespérée mais c'est comme ça : les cavaliers pensent effectivement qu'en ne connaissant pas des figures ultra-compliquées les filles vont s'ennuyer. Le problème c'est qu'avec des passes compliquées souvent ils ne sont pas très tendres avec les bras des cavalières. Souvent c'est : "Ça passe ou ça casse !"
Photo de F

5/10
eh oui je ne suis pas sûre que ce soit toujours la faute des professeurs...en fait ils répondent à une demande. Pour moi on devrait déjà savoir danser (avec n'importe qui) les basics avant de comencer les passes compliquées mais bon faire quelques cours sur les bases puis dire "allez vous entrainer pendant quelques mois maintenant" c'est pas très lucratif...lol.

En bachata je danse souvent avec des cavaliers qui font tout un tas de tours et de figures mais qui sont incapables de suivre la musique....ils ne savent aller que de droite à gauche et vice versa....

Les gens ne comprennent pas non plus la différence entre une performance, un show où il y a un public donc il faut que ça en jette et la danse "sociale" où le plus important c'est la connexion, le guidage et l'écoute de la musique, on danse pour son/sa partenaire en premier lieu.
Photo de U

6/10
Petit article très intéressant, même si parsemé de quelques affirmations que je trouve aberrantes.

Pour faire court, j'enseigne la salsa cubaine (casino) depuis 3 ans, et je retrouve dans votre discours des choses que j'ai beaucoup vu en soirée, ou même en cours parmi mes élèves.

Totalement d'accord avec vous, il est très compliqué de faire entendre aux élèves que la danse ne se limite pas à faire des noeuds à longueur de temps et des accrobaties. Mais ce n'est pas la faute des danseurs mais des médias et de nombreux profs qui se sont formés en regardant "danse avec les stars" ou "dirty dancing" et qui induisent en erreur de nombreux débutants impressionnables, en faisant l'amalgame entre "spectaculaire" et "beau".

Tous les profs sans distinction de discipline devraient donner des explications sur la musicalité dans leur cours. Depuis que j'intègre cette notion importante dans mes cours, mes élèves écoutent la musique et jouent avec en soirée.

Idem pour les notions de posture, de cadre, et de guidage, souvent absentes de certains cours... et qui sont très importantes pour ne pas se blesser ou blesser sa/son partenaire.

Juste deux points ou mon jugement s'éloigne du votre :

- Il n'y pas de danse plus simple ou plus compliquée, si la salsa cubaine est souvent considérée comme facile, c'est principalement dû au format des cours et au public visé, en effet, beaucoup de profs rentrent moins dans les détails quand la danse qu'ils enseignent est plus populaire, car ils ne veulent pas faire fuir une partie du public (et de leur clientèle), du coup tout est expliqué à la va vite, sans aucun approfondissement, pour ne pas mettre des élèves en situation d'échec ou de remise en cause... Ceux qui veulent aller plus loin dans une danse finissent par quitter ce format de cours pour aller chercher la technique, la culture, et toutes ces petites choses dont ils sont si friands. Donc non, la salsa cubaine n'est pas moins technique, et vous je vous garantie que vous ne ferez pas le tour de l'univers cubain en une vie.

- Le savoir d'un prof de danse est censé progresser, et celui -ci doit se former constamment, se remettre en question, chercher encore et encore de nouveaux contenus, de nouvelles approches. La progression dans une danse est illimitée !! Alors croyez moi, TOUS les profs n'ont pas tout donné en deux ans, certains ont de quoi vous faire avancer pendant encore quelques années de plus, et c'est aussi pour ça que vous payez vos cours.
Photo de M

7/10
Bonjour à tous. Très intéressante cette discussion. Pour ma part il m'est arrivé de quitter un cours dans lequel le prof insiste à tout prix pour faire ingurgiter un ensembles de passes très complexes en à peine 1heure. On fait des noeuds, on rit parce que vient pour s'amuser et prendre du plaisir... Mais au final, c'est frustrant car quasiment personne ne peut suivre et quand aux passes, elles sont bien souvent inexploitables en soirée.
On est donc trés loin des fondamentaux à maitriser. Dans ce cas je crains qu'il s'agisse d'un marketing visant à vous faire revenir le plus souvent possible dans ces cours à priori "bon marché" et dans lesquels on vous rassure en vous disant qu'il faut s'accrocher et revenir ;-)
Photo de F

8/10
Ce que j'apprécie particulièrement dans mon école c'est que nous changeons systématiquement de cavalier pendant les cours. Les cavaliers doivent effectivement être capables de danser avec n'importe cavalière (et vice-versa).
Je danse moi-même en tant que cavalière (bien sûr puisque c'est comme ça que j'ai commencé dans cette école). Au bout de quelques années j'ai commencé à faire le cavalier (car comme un peu partout malheureusement les hommes se font rares).
Lorsque je fais danser les filles elle me disent que je suis beaucoup plus douces que les garçons. je leur répond que, comme elles, j'ai déjà subi les brutalités de certains cavaliers et je suis donc bien placée pour savoir quels sont les mouvements qu'ils ne faut pas faire.
Lorsque j'ai des problèmes pour réaliser une passe il suffit que la prof me fasse faire cette passe en fille pour que je comprenne d'où vient mon erreur. C'est donc un gros avantage pour moi de savoir danser des 2 côtés du miroir.
D'ailleurs le meilleur cavalier que j'ai jamais eu en rock était un homme qui dansait aussi bien en garçon qu'en fille. On s'est vraiment éclaté sur certains rock lorsque, pendant la danse on changeait tous les 2 de rôle : il devenait fille et moi garçon.
Photo de U

9/10
Bonjour,
Article très intéressant auquel j'adhère à 100%
Je danse le Rock, la salsa cubaine, un peu la batchata, et le west coast swing.

J'ai envie d'ajouter deux choses :

1) C'est de garder à l'esprit pourquoi on aime la danse ? et que plusieurs personnes peuvent apprécier la danse pour des raisons différente des miennes, ou pour les même raisons.

Certains vont aimer

- la performance et la compétition,

- d'autres se mettre en valeur avec des passes complexes,

- d'autres se défouler,

- d'autre la convivialité et rencontrer du monde,

- d'autre comme moi : découvrir une nouvelle partenaire, ressentir, échanger une complicité sur la musique dans la douceur et l'écoute, et lui faire plaisir. Les danses de connexion comme le west coast swing ou la batchata sont super pour ça.

- etc ...

2) Dernière remarque :
Je constate souvent que les cours sont très focalisés sur les pas
et rarement sur les sensations du corps procurées par la posture, le cadre des bras et des épaules, le gainage et la souplesse = LA CONNEXION.

Bon nombre de cavalières m'arrachent les bras en rock ou en salsa et c'est souvent parce que leur enseignant n'est pas bon.

Quand on a une bonne connexion avec sa partenaire c'est si simple de l'accompagner en lui laissant l'espace, pour lui donner du plaisir et prendre du plaisir.
Photo de M

10/10
Bonsoir

En France, on à la culture de la réussite sociale par le travail, l'effort. Savoir plus que les autres, se démarquer, être le plus fort, le plus puissant. Celà se retrouve aussi dans d'autres domaines comme dans le sport qui soit de compétition oû de loisirs, être le premier ou sur le podium. Mais aussi dans les jeux de société, certains sont invivable lorsque l'on est partenaire avec eux dans une partie de tarot ou autres, on dirait qu'il joue leur vie à en pourrir la vôtre si à un moment où un autre vous avez raté un point décisif.

En danse c'est pareil, il faut être le meilleur, les profs sont eux aussi dans la compétition entre eux, pour en avoir fait dans ma région, 5 en 1 an, je sais de quoi je parle.

Maintenant chacun est différent, on a tous des objectifs différents. Lorsque je fais du sport ou je joue à des jeux de société, peut m'importe de gagner, je prends plaisir à participer, c'est tout.

Pour ma danse, c'est pareil, mais je mets un point d'honneur à tout apprendre, aller jusqu'au niveau avancé ( qui peut le plus peut le moins ).

Ensuite en Milonga, le cavalier intelligent s'adapte au niveau de sa cavalière ( règle de savoir vivre élémentaire ), il ne danse pas pour lui. Le cavalier â pour but premier de mettre sa cavalière en valeur et non le contraire, c'est à celà que l'on reconnaît un bon danseur.

Nul besoin de faire compliqué et mal, lorsque l'on peut faire simple et bien. Maintenant si les deux font compliqué et bien, tant mieux pour eux, un exemple à suivre pour y arriver par le travail.

Voilà, à chacun d'avoir l'intelligence de s'intégrer au mieux dans ce milieu pas différent des autres.